Blonde comme les blés et belle à se pâmer, l’excentrique et sexy Julie Bergdorf- richissime héritière des magasins de luxe du même nom – a vraiment tout pour plaire. Quotidiennement entourée d’une meute d’admiratrices, cible privilégiée des magazines people et déesse incontestée des boîtes de nuit fashion et autres restaurants huppés, la lolita de la mode règne en maîtresse absolue sur la toute-puissante jet-set new-yorkaise. Seul hic, mademoiselle est célibataire. Et dans les quartiers hype où le chic du chic consiste à se pavaner au bras de son fiancé, cette situation relève de l’impardonnable faute de goût. Lancée à l’assaut du MP – Mari Potentiel -, la Princesse de Park Avenue saura-t-elle trouver chaussure à son pied?
Bon alors là, je viens de faire ce que que je refusais de faire sur mon blog, un “copié collé” de résumé. Mais j’ai une excuse: chercher un résumé pour ce livre revient à devoir y réfléchir, et je trouvé que ce serait lui donner beaucoup trop d’importance. Comme vous vous en doutez, je n’ai pas du tout aimé.
Déjà, sachez que la Julie Bergdorf dont parle ce résumé, et tout les autres que vous trouverez (même la quatrième de couverture c’est pour dire) et bien, cette jeune fille ets la meilleure amie du l’héroine, mais pourquoi on nous parle d’elle ? On la croise régulièrement, soit, mais ce n’est pas elle qu’on suit ! Au final j’aurai préféré, ça aurait sans soute été mieux mais bref. J’ai une théorie là-dessus, c’est parce que l’héroïne (dont je ne me souviens même plus du nom, d’ailleurs je ne suis même pas certaine qu’il soit précisé dans le livre, si quelqu’un le connait, merci de me faire signe) est stupide, insignifiante, geignarde et flemmarde. Bref antipathique au possible, alors qu’elle semble adulée comme pas parmi par toute la communauté “in” de New-York.
Les autres personnages sont très caricaturaux, ça m’a gênée également, tous beaux, tous riches tous stupides selon notre héroïne, à part bien sûr (hum).
L’histoire en elle-même est très caractéristique de ce genre littéraire, pas de grosses surprises, dès le début on comprends tout. Donc, très ennuyeux.
Au niveau du style, j’ai trouvé ça très pompeux, l’auteure nous balance les termes presque techniques que la jet-set New-Yorkaise utilise, ça en devient un dictionnaire ou un manuel de survie Jet-set/ commun des mortels.
Autre gros défaut, le livre est trop confus. Je l’ai lu en français, donc je ne sais pas si ce sentiment vient de l’auteure ou de la traduction, mais c’est vraiment compliqué à lire pour de la chick-lit. Reprendre trois fois une phrase car on ne comprends pas qui parle est assez fatiguant à la fin.
En résumé, non je n’ai pas du tout aimé Blonde Attitude, et je ne le conseille vraiment pas.
Et voici un billet pour le challenge Chick-lit de chez mademoiselle Evy !
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